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Croissance et dette publique en 2030 ?
Comme dans la plupart des pays développés, l'impact économique de la crise bancaire et financière est considérable en France : une diminution brutale du PIB par habitant que les évolutions récentes stabilisent mais ne comblent pas. La crise laisse en outre des déficits publics très importants, dus à la fois aux mesures délibérées pour lutter contre la spirale dépressive mais aussi à l'impact de la réduction d'activité sur les recettes fiscales et au gonflement des dépenses sociales. Le relais de l'endettement public au désendettement des agents privés a permis de limiter la contraction de l'activité, au prix de la dégradation des comptes publics.
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De la TVA sociale à la désinflation compétitive
A partir de janvier 2007, une mesure fiscale de "TVA sociale" va s'appliquer en l'Allemagne. Il s'agit d'une baisse de cotisations sociales qui s'accompagne d'une hausse de la TVA. Elle s'apparente à une désinflation compétitive et vise à augmenter la compétitivité-prix des entreprises, à l'exportation et sur le marché intérieur. Dans cet article, Éric Heyer, Paola Monperrus et Xavier Timbeau expliquent le mécanisme de la TVA sociale et, après avoir rappelé l'attachement de l'Allemagne à la désinflation compétitive par le passé, étudient l'effet de son instauration en Allemagne sur l'économie allemande et les autres pays de la zone euro.
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Délocalisation et emploi en France, que faire ?
Les délocalisations sont au cœur du débat sur la mondialisation. La concurrence des pays émergents à bas salaires (PEBS) entraînerait progressivement la disparition des industries des pays du Nord. Pourtant, pour beaucoup d'économistes, celle-ci n'est pas un problème important pour les pays industriels, qui pourraient se reconvertir vers d'autres activités ; toute mesure de protection serait une atteinte égoïste à la croissance des pays pauvres. Une économie peut-elle vivre sans industrie ? Que faire face à la disparition des emplois non qualifiés ?
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Des biens aux données : la numérisation des activités productives françaises
Depuis les années 1980, on assiste à un processus de numérisation des économies, qui a commencé par la production et la consommation de biens numériques et se poursuit avec celles des services numériques, de plus en plus dématérialisés. Où en est la France dans la numérisation de son tissu productif ? Cet article, issu du Repères "L'économie française 2019", examine la place du secteur numérique dans l'économie française, en particulier des services numériques, pour lesquels les pays riches gardent un avantage comparatif. Il souligne l'absence d'indicateurs propres à l'économie des données, incluant les activités de plateformes qui bousculent les activités traditionnelles dans de nombreux secteurs, et donc la difficulté à mesurer le poids de l'économie numérique dans son ensemble.
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Des heures supplémentaires en plus
La défiscalisation des heures supplémentaires et son exonération de cotisations sociales, proposée par Nicolas Sarkozy, vise à redonner du pouvoir d'achat aux salariés français en abaissant le coût du travail et en augmentant leur durée du travail. Pourquoi cette mesure et quel serait son impact sur l'emploi ? Avant d'exposer les effets macroéconomiques de la défiscalisation des heures supplémentaires, l'article revient sur le diagnostic sur lequel repose cette mesure en se demandant si les salariés français travaillent moins comparativement aux autres pays de l'OCDE et si le coût du travail dans l'Hexagone est trop élevé.
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Dette publique, richesse et croissance
Plus que jamais les réflexions concernant la dette publique et son risque d'insoutenabilité sont au centre des débats politiques, économiques et financiers. La crise a entraîné une hausse vertigineuse des déficits et dettes publics dans la plupart des pays, en raison des politiques budgétaires discrétionnaires de soutien à l'activité et du coût conjoncturel pour les finances publiques des stabilisateurs automatiques. Si ces politiques budgétaires contra-cycliques ont été le seul rempart à la crise systémique et à la dépression qui menaçaient l'économie mondiale, elles ont néanmoins un coût. Tous les pays industrialisés, et plus particulièrement européens, ont ou vont pratiquer des politiques d'austérité sévère pour éponger l'endettement public passé. Si la réduction à moyen terme des déficits publics est essentielle, il n'en reste pas moins que ces politiques budgétaires restrictives et leur synchronisation dans la plupart des économies industrialisées vont avoir un impact fort sur la croissance.
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Du plan de relance au plan d'investissement : du « quoi qu'il en coûte » au « autant que possible » ?
Alors que d’un point de vue sanitaire une perspective de sortie de crise se dessine, cet article, issu du Repères « L'économie française 2022 », évalue l’opportunité d’une intervention publique additionnelle aux 100 milliards du plan de relance décidé par le gouvernement. L’analyse du tissu productif français, des infrastructures publiques et du contexte financier actuel plaide en faveur d’un second plan dit « d’investissement », pour un montant au moins équivalent.
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Dynamique des défaillances d'entreprises en France et crise de la Covid-19
Face au double choc économique inédit, à la fois d'offre et de demande, entraîné par la crise sanitaire en 2020, le risque de faillite s'est accru pour les entreprises, y compris pour des entreprises efficaces. Cet article, issu du Repères "L'économie française 2021", évalue l'effet de la crise pandémique sur les faillites d'entreprises en France. Si le dispositif d'activité partielle a permis de réduire le nombre d'entreprises insolvables, certains secteurs sont particulièrement exposés aux défaillances d'entreprises. Il en est de même pour les microentreprises et les grandes entreprises. Le mécanisme de sélection par le marché fonctionnant mal en situation de crise, il est légitime que les pouvoirs publics interviennent directement pour aider les entreprises les plus viables.
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Évaluation du programme présidentiel pour le quinquennat 2017-2022
Pour comprendre les choix de politique économique et discuter de leurs conséquences, il est important d'évaluer précisément leur impact en étudiant leurs effets directs et indirects. Cet article, issu du Repères "L'économie française 2018", réunit les contributions de onze économistes de l'OFCE qui ont analysé les mesures fiscales et budgétaires du programme présidentiel pour le quinquennat 2017-2022 : remplacement du CICE, réforme de la taxe d'habitation, transformation de l'ISF, exonération des heures supplémentaires, revalorisation des minima sociaux, etc. Les auteurs évaluent l'impact de chacune des mesures pour les différents agents économiques, leurs effets redistributifs et la trajectoire macroéconomique prévisible après leur application (évolution de la croissance, du chômage, du déficit public).
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Evaluation du projet économique du quinquennat 2012-2017
François Hollande a été élu président de la République française à un moment où la France et l'Europe traversent une crise sans précédent. Les premières décisions du quinquennat s'inscrivent dans ce contexte fortement dégradé et très incertain. Pour une part, elles sont l'écho de propositions faites pendant la campagne et qui sont ainsi le socle de l'engagement politique scellé par l'élection présidentielle. Leur légitimité démocratique est forte et elles symbolisent le changement de majorité et donc d'orientation de la politique économique. La question est alors de savoir comment mettre en œuvre la réponse à des attentes fortes dans un contexte économique dégradé.
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