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Impact des exonérations de cotisations sur l'emploi
Cet article, écrit par les économistes Éric Heyer et Mathieu Plane et issu du Repères "L'économie française 2014", analyse l'impact des mesures d'exonérations de cotisations sociales sur l'emploi. Celles-ci visent à abaisser le coût du travail pour inciter les entreprises à substituer du travail au capital. Les auteurs se penchent dans un premier temps sur le dispositif "Fillon" d'allègements de cotisations sociales patronales sur les bas salaires, en examinant les effets de substitution et de volume. Ils évaluent ensuite l'impact sur l'emploi du CICE, le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi, mis en place pour redresser la compétitivité des entreprises françaises et soutenir l'emploi, en distinguant un effet de substitution, un effet de compétitivité et un effet pouvoir d'achat.
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Faut-il réformer le financement de la protection sociale ?
Cet article, écrit par l'économiste Henri Sterdyniak et issu du Repères "L'économie française 2014", examine la question d'une réforme du financement de la protection sociale. En effet, la France est le pays du monde où le niveau des cotisations sociales est le plus fort. En échange, le salarié français reçoit des prestations famille et chômage relativement généreuses et n'a pas à s'assurer pour sa retraite et sa santé. De leur côté, les entreprises ne supportent pas de risques liés aux retraites comme dans les pays anglo-saxons. Ce système français, difficile à réformer sans réduire son caractère redistributif, est-il un frein à la compétitivité et doit-il en conséquence être réformé ? L'auteur examine les cinq projets de réforme possible et analyse leur impact économique.
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Quelle réforme des retraites en 2013 ?
Cet article, écrit par l'économiste Henri Sterdyniak et issu du Repères "L'économie française 2014", interroge la volonté de réformer le système des retraites en France. Si la situation actuelle des retraités est globalement satisfaisante, les projections envisagent une baisse de 15,4% du niveau relatif de la retraite moyenne par rapport au salaire moyen d'ici 2040 et même de 21,5% d'ici 2060. Peut-on accepter une stagnation éternelle du pouvoir d'achat du minimum vieillesse et du minimum contributif ? En réalité, à court comme à long terme, la question des retraites est, pour l'essentiel, une question d'emploi. D'ici 2017, de nouvelles mesures de report de l'âge de la retraite ne sont pas concevables, sans une franche inversion de l'évolution de la courbe du chômage, ce qui suppose une rupture dans la politique macroéconomique française et européenne.
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Quelle politique du logement pour 2014 ?
Cet article, écrit par les économistes Sabine Le Bayon, Pierre Madec et Christine Rifflart et issu du Repères "L'économie française 2014", examine la politique du gouvernement dans le domaine du logement depuis l'élection de François Hollande, qui vise à améliorer la situation des ménages sur l'ensemble des segments du marché du logement. Après avoir exposé la situation du logement en France (prix, mobilité, taux d'effort...), les auteurs étudient les mesures prises et leurs effets potentiels sur les différents marchés (locatif, accès à la propriété).
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Pourquoi la France avait raison (et des raisons) de renoncer aux 3% de déficit public pour 2013 ?
Cet article de Mathieu Plane, issu du Repères "L'économie française 2014", aborde la question du déficit public français. Le 29 mai 2013, la Commission européenne a donné un nouveau délai à la France pour atteindre sa cible de 3% de PIB de déficit public, reportant de deux ans l'objectif imposé à la France pour améliorer sa situation budgétaire. Mais le gouvernement avait déjà fait le choix de renoncer à réduire son déficit public en dessous de 3% du PIB en 2013, notamment parce que la France a déjà amélioré sa situation budgétaire structurelle sept fois plus que la moyenne de la zone euro (si l'on exclut l'investissement public), ce qui lui a coûté en termes de croissance et d'emploi. Pour l'auteur, rajouter une couche d'austérité en 2013 à une austérité déjà historique nous conduirait tout droit vers la récession et une dégradation sans précédent du marché du travail...
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2014 - Introduction
Texte d'introduction et de présentation du Repères "L'économie française", édition 2014, par Éric Heyer. L'économiste Eric Heyer, Directeur du Département analyse et prévision de l'OFCE, présente les enjeux et les thématiques de l'édition 2014 de "L'économie Française" dont il a assuré la conception et la coordination. L'édition 2014 fait le point sur l'état de la conjoncture, les principales tendances et les grands problèmes.
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La politique industrielle entre mutations productives et contraintes de la globalisation
Ces dernières années, la politique industrielle a connu un retour en grâce, d'abord en réponse au constat des performances industrielles des pays émergents fortement interventionnistes, puis en réaction à la crise financière, économique et finalement industrielle déclenchée en 2007. Pour les pays développés, ce regain d'intérêt pour la politique industrielle s'inscrit dans une tendance lourde de recul de la part de l'industrie manufacturière dans le PIB et de diminution de l'emploi manufacturier. Cette mutation est perçue aujourd'hui comme déstabilisatrice parce qu'elle se double d'une exposition croissante aux logiques économiques globales et plus récemment de la grande crise économique. Cette ressource expose comment la politique industrielle peut trouver une nouvelle cohérence qui tienne compte des logiques de la mutation productive et de la globalisation en cours.
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Evaluation du projet économique du quinquennat 2012-2017
François Hollande a été élu président de la République française à un moment où la France et l'Europe traversent une crise sans précédent. Les premières décisions du quinquennat s'inscrivent dans ce contexte fortement dégradé et très incertain. Pour une part, elles sont l'écho de propositions faites pendant la campagne et qui sont ainsi le socle de l'engagement politique scellé par l'élection présidentielle. Leur légitimité démocratique est forte et elles symbolisent le changement de majorité et donc d'orientation de la politique économique. La question est alors de savoir comment mettre en œuvre la réponse à des attentes fortes dans un contexte économique dégradé.
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Les banques françaises : entre crise de la zone euro et nouveaux défis
Depuis 2008, les mauvaises nouvelles s'accumulent pour les banques françaises : crise américaine des subprime, forte dépréciation de la valeur de leurs engagements dans les pays du sud de la zone euro (Grèce, Italie, Portugal, Espagne), dégradations de leurs notes par les agences de notation... En 2012, non seulement les banques françaises doivent faire face à une crise de la zone euro qui est loin d'être résolue, mais elles sont également confrontées à de nouveaux défis de taille. Outre la nouvelle réglementation prudentielle Bâle III, qui pèse lourdement sur leurs bilans, le gouvernement pourrait mettre en œuvre en 2013 plusieurs des mesures annoncées lors de la campagne de François Hollande, lesquelles affecteraient leur profitabilité.
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Zone euro : du Pacte budgétaire au débat sur la croissance
La crise actuelle a mis en évidence les défauts de l'organisation de la zone euro. Depuis 1999, polarisée sur le respect du Pacte de stabilité et de croissance (PSC), la Commission européenne a été incapable d'impulser une stratégie macroéconomique coordonnée. Les divergences se sont creusées entre les pays périphériques, dont la forte croissance s'accompagnait d'un gonflement des déséquilibres, et les pays du Nord, dont la recherche de compétitivité par la stagnation des salaires pesait sur la croissance de la zone. En 2012, la situation reste problématique.
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