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Éloi Laurent et la nouvelle écologie politique
La réflexion d'Éloi Laurent lors de la conférence, a porté sur les modalités de l'engagement européen pour l'environnement et sur la capacité de l'Europe à maintenir ce qu'il nomme son «avantage comparatif écologique». Selon lui, l'Europe s'est aujourd'hui engagée dans la lutte contre le changement climatique selon trois modalités : la «solution réglementaire», la «solution coasienne», la «solution pigouvienne».
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Energie et croissance
Energie et croissance sont deux termes très positifs. Disposer de sources d'énergie est un objectif tout aussi souhaitable que croître et devenir riche. Mais ces deux variables sont-elles liées, corrélées positivement ? On est tenté de répondre positivement à cette question. En effet, si quelqu'un entrait par hasard en possession d'un champ pétrolifère ou d'une centrale électrique solaire, sa richesse personnelle augmenterait sans doute. Mais l'évaluation de cette question est en fait beaucoup plus complexe. En économie, ce qui semble évident n'est pas toujours correct.
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Gilles Rotillon : Pourquoi le développement durable n'existe-t-il pas ?
A l'occasion de la COP21 qui se tient à Paris du 30 novembre au 11 décembre 2015, nous ouvrons un nouveau dossier sur le développement durable afin de faire le point sur les enjeux de celui-ci. Nous publions pour commencer un texte de Gilles Rotillon, Professeur émérite de sciences économiques à l'Université Paris Ouest Nanterre la Défense et spécialiste en économie de l'environnement. Il y défend la thèse de l'absence de forces sociales suffisantes pour que des transformations non marginales de nos modes de production et de consommation soient engagées. Pour la justifier, il propose une taxinomie des différents types de solutions au problème environnemental en fonction des forces sociales qui les portent.
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Happy Planet Index
Les travaux sur l'empreinte écologique ont inspiré la création en 2006 d'un nouvel indicateur (provocateur) de bien-être durable, mis au point par la New Economics Foundation en relation avec l'ONG Friends of the Earth (Les amis de la terre). Le Happy Planet Index (HPI) combine trois variables, le degré de satisfaction de la vie, l'espérance de vie et l'empreinte écologique par habitant.
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L'action publique face à la crise environnementale mondiale
Pourquoi l'action publique pour l'environnement est-elle nécessaire ? Quels sont les ressorts de cette action publique au niveau national ? Au niveau international ? Comment évaluer et contrôler l'action publique ? En reprenant ces questionnements un à un, cette contribution a pour objectif de présenter les ressorts des actions des gouvernements et des acteurs non étatiques qui font face à la crise environnementale mondiale.
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L'empreinte écologique
Les activités humaines de production et de consommation utilisent des ressources naturelles dont certaines sont non renouvelables, alors que d'autres sont dites "non renouvelables" : elles peuvent se reproduire ou se régénérer sans intervention humaine (sols, forêts, eau, atmosphère...). C'est uniquement à ces dernières que s'intéresse la notion d'empreinte écologique. Ce sont elles qui posent les problèmes les plus graves à terme : ces ressources a priori renouvelables ne sont-elles pas en cours d'épuisement ?
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L'indice de bien-être durable (IBED)
L'IBED tient compte de la consommation marchande des ménages, des services du travail domestique, des dépenses publiques non défensives, des dépenses privées défensives, des coûts des dégradations de l'environnement, de la dépréciation du capital naturel et de la formation de capital productif. C'est un indicateur synthétique qui, en dépit de ses limites, permet de donner des ordres de grandeurs, et de mettre l'accent sur les effets destructeurs d'un environnement malsain. Certains pays tels que le Canada, très en pointe dans la réflexion sur les indicateurs de bien-être ou encore le Royaume-Uni ou l'Autriche, se sont inspirés de l'IBED.
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L'opportunité des politiques climatiques
L'analyse coûts-avantages est ici sollicitée dans un contexte de temps long et de risque difficilement probabilisable qui l'oblige à reprendre la réflexion sur certains de ses fondements. Notons d'abord, que le principe de précaution qui stipule que "l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économique acceptable", renvoie pour l'évaluation du coût économique acceptable, la balle dans le camp de l'économiste. Symétriquement, l'économiste revendique une compétence particulière le problème de l'évaluation des dommages.
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La concrétisation des politiques climatiques
Protocole de Kyoto oblige, évoquons la conception d'une coopération internationale efficace. C'est au sens large un problème de "mechanism design", c'est à dire d'élaboration de mécanismes, qui se déclinent dans des institutions, et qui opèrent, compte tenu de l'ensemble des contraintes, qui ont comme dans la théorie pure une forte composante informationnelle, un compromis politique et économique convenable. Théorie pure, économie politique, théorie des jeux sont convoquées mais le problème reste largement ouvert et les progrès de la recherche bienvenus.
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La construction socio-politique de la question environnementale en France
Le développement des sociétés industrielles modernes s'est accompagné d'une montée des préoccupations liées à l'environnement à partir des années 1960. Dans cet article, les sociologues Chantal Aspe et Marie Jacqué mettent au jour les processus sociaux, économiques et politiques qui ont construit historiquement la question environnementale comme « problème » en France. Elles retracent la naissance d'un nouveau domaine de l'action publique et montrent que l'institutionnalisation progressive de la question environnementale s'est faite dans un rapport dynamique avec les revendications sociales et les mouvements contestataires.
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