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L'Europe moins vieille que prévu
Dans une récente communication sur l'avenir démographique de l'Europe, la Commission européenne reprend les résultats d'un nouveau rapport sur la soutenabilité des finances publiques dans l'Union européenne (Commission européenne, 2006a et 2006b). Les évolutions démographiques présentées à l'horizon 2050 mineraient le potentiel de croissance économique, exigeant une remise en cause des systèmes de retraites et des réformes douloureuses. Trois facteurs seraient à l'origine de cette situation : une baisse du taux de fécondité, l'arrivée des baby-boomers à l'âge de la retraite et une forte augmentation de l'espérance de vie. L'immigration resterait soutenue (+ 900 000 par an en moyenne dans l'UE 25), mais insuffisante à compenser ces facteurs. En raison de ces tendances, la population de l'Union se réduirait et vieillirait.
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L'impact d'un choc pétrolier au temps de la Covid-19
Les chocs pétroliers, positifs ou négatifs, ont généralement un fort impact sur l'économie réelle. La récession mondiale liée à la pandémie de Covid-19 et les mesures de confinement ont provoqué un effondrement des prix du pétrole au printemps 2020. Cet article, issu du Repères "L'économie française 2021", analyse les effets de cette baisse du prix du pétrole sur les prix à la consommation et les prix de production. Il ressort qu'une baisse forte des prix du pétrole en période de récession a peu d'effet sur l'inflation et donc sur le pouvoir d'achat des ménages. Elle est en revanche favorable à la hausse des marges des entreprises.
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L'impact du durcissement des conditions financières sur la croissance depuis 2011
La double crise, bancaire et de la dette, qui a touché la zone euro en 2011-2012, a dégradé les conditions de financement dans un certain nombre de pays. Dans cet article issu du Repères "L'économie française 2016", Raul Sampognaro étudie d'abord l'impact de ce choc financier sur les conditions financières et la croissance en France, puis l'effet des interventions de la BCE en faveur de la normalisation à partir de fin 2012.
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L'indemnisation du chômage dans la crise
Avec la crise, le chômage est depuis la fin de 2008 sur une pente très fortement ascendante. L'assurance chômage constitue la première ligne de stabilisation automatique de l'économie, en permettant le maintien d'une partie du revenu de ceux qui perdent leur emploi. C'est dans ce contexte que le système vient d'être réformé. Cet article analyse le système d'indemnisation du chômage de la France et sa réforme en 2008-2009, en se demandant s'il est réellement adapté à l'ampleur et aux caractéristiques de la crise.
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L'introuvable réforme fiscale
Peut-on mettre en oeuvre une forte réduction des dépenses publiques permettant une baisse importante de la fiscalité ? Il y a sans doute des gaspillages, des économies réalisables, mais aussi beaucoup de domaines où les dépenses publiques ne sont pas suffisantes. Henri Sterdyniak part à la recherche de l'introuvable réforme fiscale.
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L'Union bancaire européenne
Cet article, écrit par les économistes Jean-Paul Pollin et Jean-Luc Gaffard et issu du Repères "L'économie française 2015", fait le point sur l'encadrement du système bancaire en 2015. L'expérience de la crise de 2008 a montré que les défaillances bancaires constituent désormais un risque systémique. Au travers d'une Union bancaire européenne, on tente ainsi d'en trouver des "pare-feux" efficaces pour minimiser le risque global qui pèse sur le réseau bancaire européen.
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La compétitivité de l'appareil productif français : état des lieux et perspectives
Depuis la crise de 2008, qui a particulièrement touché le secteur de l'industrie manufacturière, la désindustrialisation de la France est source d'inquiétude en raison du rôle central de ce secteur dans la croissance économique et la création d'emplois. La persistance du déficit commercial français est révélatrice d'une perte de compétitivité des entreprises hexagonales à l'international. Cet article, issu du Repères "L'économie française 2018", analyse les causes de ce décrochage de l'appareil productif français et s'interroge sur la nature des politiques économiques susceptibles de redresser sa compétitivité.
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La compétitivité de la France : mythes et réalités
Cet article analyse l'évolution de la compétitivité de la France depuis son entrée dans la zone euro et relativement à celle de ses principaux partenaires de l'Union. Alors que l'adoption d'une monnaie commune devait mettre un terme aux stratégies de dévaluations compétitives, des divergences significatives sont apparues en réaction à l'appréciation de l'euro depuis 2001. La France a perdu des parts de marché, essentiellement à l'intérieur de la zone euro et au profit de l'Allemagne. Cependant, rien ne montre que la France a souffert d'un déficit de croissance.
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La crise des dettes publiques de la zone euro
La crise des années 2008-2009 est d'abord une crise bancaire et financière, provoquée par des innovations hasardeuses, dans un contexte de libéralisation et de globalisation financières non contrôlées. Elle ne provient pas de la hausse des dettes et des déficits publics. Elle a cependant provoqué une forte dégradation des finances publiques, en raison du soutien aux banques, de la baisse des recettes fiscales et des politiques de soutien de l'activité. À partir de la fin 2008, les marchés financiers ont spéculé sur l'éclatement de la zone. La crise financière s'est ainsi prolongée en une crise des dettes publiques de la zone euro.
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La démographie à la rescousse de la protection sociale en France
L'INSEE a publié en juillet 2006 de nouvelles projections de population active à l'horizon 2050. Le nouveau scénario affiché par l'INSEE modifie en profondeur la vision que l'on peut avoir de l'activité française à long terme. Le plus grand dynamisme de l'offre de travail qui ressort de ces projections permettrait à long terme d'accroître la capacité de financement des dépenses publiques. Les dépenses de retraite et de santé seraient moins élevées que prévu en raison du plus grand nombre d'actifs âgés et du vieillissement moins prononcé de la population française.
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