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Réflexions sur la croissance verte
Ce dossier reprend la rubrique "Débats et opinions" de La lettre de l'Association Française de Sciences Economiques (AFSE) d'août 2009, consacrée à la "croissance verte". En plus de l'introduction intitulée "Pour une croissance verte... et sociale", il comporte six contributions portant sur la notion de croissance verte, les liens entre croissance économique et préservation de l'environnement, la transition énergétique, la monétarisation du non-marchand et la fiscalité environnementale.
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"Grenelle de l'environnement" : vers une nouvelle fiscalité écologique ?
Pour les deux auteurs de cet article, Eloi Laurent et Jacques Le Cacheux, "le choix français du nucléaire ne doit donc pas être un trompe l'œil, masquant des évolutions préoccupantes en matière de transport, de logement, d'industrie, voire de traitement des déchets et d'agriculture". Le Grenelle de l'environnement serait donc l'occasion selon eux de rouvrir la question d'une fiscalité écologique qui tiendrait mieux compte des externalités négatives liées à l'activité économique humaine. Évoquant la nécessité d'une meilleure information des consommateurs et d'une plus grande transparence du bilan carbonique des producteurs, les deux auteurs développent une réflexion sur le prix.
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Éloi Laurent et la nouvelle écologie politique
La réflexion d'Éloi Laurent lors de la conférence, a porté sur les modalités de l'engagement européen pour l'environnement et sur la capacité de l'Europe à maintenir ce qu'il nomme son «avantage comparatif écologique». Selon lui, l'Europe s'est aujourd'hui engagée dans la lutte contre le changement climatique selon trois modalités : la «solution réglementaire», la «solution coasienne», la «solution pigouvienne».
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L'empreinte écologique
Les activités humaines de production et de consommation utilisent des ressources naturelles dont certaines sont non renouvelables, alors que d'autres sont dites "non renouvelables" : elles peuvent se reproduire ou se régénérer sans intervention humaine (sols, forêts, eau, atmosphère...). C'est uniquement à ces dernières que s'intéresse la notion d'empreinte écologique. Ce sont elles qui posent les problèmes les plus graves à terme : ces ressources a priori renouvelables ne sont-elles pas en cours d'épuisement ?
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L'indice de bien-être durable (IBED)
L'IBED tient compte de la consommation marchande des ménages, des services du travail domestique, des dépenses publiques non défensives, des dépenses privées défensives, des coûts des dégradations de l'environnement, de la dépréciation du capital naturel et de la formation de capital productif. C'est un indicateur synthétique qui, en dépit de ses limites, permet de donner des ordres de grandeurs, et de mettre l'accent sur les effets destructeurs d'un environnement malsain. Certains pays tels que le Canada, très en pointe dans la réflexion sur les indicateurs de bien-être ou encore le Royaume-Uni ou l'Autriche, se sont inspirés de l'IBED.
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Happy Planet Index
Les travaux sur l'empreinte écologique ont inspiré la création en 2006 d'un nouvel indicateur (provocateur) de bien-être durable, mis au point par la New Economics Foundation en relation avec l'ONG Friends of the Earth (Les amis de la terre). Le Happy Planet Index (HPI) combine trois variables, le degré de satisfaction de la vie, l'espérance de vie et l'empreinte écologique par habitant.
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Eco-économie - Une autre croissance est possible, écologique et durable
Fiche de lecture de l'ouvrage "Eco-économie - Une autre croissance est possible, écologique et durable" de Lester R. Brown. L'auteur appelle de ses voeux la coopération des spécialistes de l'environnement et des économistes pour identifier « comment restructurer l'économie globale de façon à restaurer la stabilité entre l'économie et l'écosystème sur lequel elle s'appuie ».
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Ariane Tichit : Le développement durable
Cet article aborde un certain nombre de débats théoriques autour des concepts de développement durable et de soutenabilité. Il revient sur l'opposition dans la littérature économique entre d'un côté les tenants de la "soutenabilité faible", pour qui le problème de l'épuisement des ressources est résolu par la substituabilité entre capital naturel et capital physique reproductible, et de l'autre les tenants de la "soutenabilité forte", qui accordent une valeur intrinsèque à l'environnement et refusent cette idée de substituabilité ainsi que la priorité donnée à la croissance et à l'efficience économique. Au-delà de la question de la définition du développement soutenable, le problème de la mesure et de la monétarisation de l'environnement est également soulevé : comment prendre en compte l'environnement dans les comptes nationaux, quels indicateurs de développement durable utiliser ?
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La concrétisation des politiques climatiques
Protocole de Kyoto oblige, évoquons la conception d'une coopération internationale efficace. C'est au sens large un problème de "mechanism design", c'est à dire d'élaboration de mécanismes, qui se déclinent dans des institutions, et qui opèrent, compte tenu de l'ensemble des contraintes, qui ont comme dans la théorie pure une forte composante informationnelle, un compromis politique et économique convenable. Théorie pure, économie politique, théorie des jeux sont convoquées mais le problème reste largement ouvert et les progrès de la recherche bienvenus.
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L'opportunité des politiques climatiques
L'analyse coûts-avantages est ici sollicitée dans un contexte de temps long et de risque difficilement probabilisable qui l'oblige à reprendre la réflexion sur certains de ses fondements. Notons d'abord, que le principe de précaution qui stipule que "l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l'environnement à un coût économique acceptable", renvoie pour l'évaluation du coût économique acceptable, la balle dans le camp de l'économiste. Symétriquement, l'économiste revendique une compétence particulière le problème de l'évaluation des dommages.
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